Resto-camping Océanides à Nouakchott : au lieu de détruire ce qui est utile, il faut soutenir ce qui le mérite...
Le resto-camping en bord de mer Oceanides, chez Lala et Habbaye, rend un très grand service à l'Etat, à sa diplomatie, à son économie et à l'investissement en général car c'est un petit coin convivial fréquenté par les diplomates, les étrangers, les hauts fonctionnaires et les cadres mauritaniens, les organisations internationales, les ONG, l'APIM et les investisseurs de passage, le citoyen lambda mauritanien etc.
L'autre jour j'ai croisé notre célèbre cinéaste Abderrahmane Sissako en famille. Tous ne veulent pas du luxe des grands hôtels en bord de mer ou des resto trop chic qu'on trouve partout avec tout un protocole et un service lourds. Ce que chacun cherche ici c'est l'atmosphère d'un lieu familial qui semble être le vôtre, quelque chose de simple où l'on sent l'effet de la mer sur le bois et les efforts des propriétaires qui ont tout créé à partir de rien en investissant chaque année avec les moyens du bord pour rendre l'endroit plus agréable.
Depuis des années leur dossier complet respectant les dispositions de la loi est sur le bureau de plusieurs ministres de régimes successifs non pas pour devenir propriétaires des lieux mais avoir un droit d'exploitation sur 35 ans. Est-ce trop demander ? Qu'est-ce 35 ans pour un Etat face à un bord de mer vide sur des centaines de km ?
Tout casser sans indemniser c'est injuste et cela ne sert pas l'Etat vu l'intérêt des diplomates des investisseurs étrangers et des mauritaniens qui viennent là en famille ou avec des délégations étrangères en visite. Il faut soutenir ces pionniers surtout que madame est une citoyenne mauritanienne avec des moyens modestes et soutenir aussi tous les citoyens prêts à investir en bord de mer sans que cela ne profite souvent qu'aux grands groupes qui ne pensent qu'en grands hôtels ou resto de luxe qui n'intéressent pas les étrangers et sont trop chers pour les mauritaniens
L'autre jour j'ai croisé notre célèbre cinéaste Abderrahmane Sissako en famille. Tous ne veulent pas du luxe des grands hôtels en bord de mer ou des resto trop chic qu'on trouve partout avec tout un protocole et un service lourds. Ce que chacun cherche ici c'est l'atmosphère d'un lieu familial qui semble être le vôtre, quelque chose de simple où l'on sent l'effet de la mer sur le bois et les efforts des propriétaires qui ont tout créé à partir de rien en investissant chaque année avec les moyens du bord pour rendre l'endroit plus agréable.
Depuis des années leur dossier complet respectant les dispositions de la loi est sur le bureau de plusieurs ministres de régimes successifs non pas pour devenir propriétaires des lieux mais avoir un droit d'exploitation sur 35 ans. Est-ce trop demander ? Qu'est-ce 35 ans pour un Etat face à un bord de mer vide sur des centaines de km ?
Tout casser sans indemniser c'est injuste et cela ne sert pas l'Etat vu l'intérêt des diplomates des investisseurs étrangers et des mauritaniens qui viennent là en famille ou avec des délégations étrangères en visite. Il faut soutenir ces pionniers surtout que madame est une citoyenne mauritanienne avec des moyens modestes et soutenir aussi tous les citoyens prêts à investir en bord de mer sans que cela ne profite souvent qu'aux grands groupes qui ne pensent qu'en grands hôtels ou resto de luxe qui n'intéressent pas les étrangers et sont trop chers pour les mauritaniens
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