
Les travaux d’un atelier sous régional sur le Traité de coopération en matière de brevets (PCT) ont débuté mardi à Nouakchott.
Cette rencontre, organisé par le ministère de l’Economie et de l’Industrie avec la collaboration de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), permettra d’explorer ce qui est brevetable en Mauritanie, aux Comores et à Djibouti afin de créer un réseau d’utilisateurs du PCT mais surtout de soumettre les conditions aux esprits innovants en vue de leur faciliter l’accès aux plateformes électroniques du PCT afin qu’ils puissent protéger leurs inventions au niveau international.
Elle permet aussi de fournir tous les outils nécessaires aux esprits innovants de demain afin de faciliter la transition de l’économie de la Mauritanie vers une économie basée sur la connaissance.
Pendant 2 jours, les participants vont discuter plusieurs sujets portant, entre autres, sur l’état de la propriété intellectuelle en Mauritanie, le système national de brevets (expérience Djibouti), les interactions entre les utilisateurs, les mandataires , l’Office et le PCT comme outil de transfert de technologies.
Dans le discours qu’il a prononcé, à cette occasion, le secrétaire général du ministère de l’Economie et de l’Industrie, M. Mohamed Ould Ahmed Aïda a indiqué que son département a crée, avec l’appui de l’OMPI, des centres d’appui à la technologie d’innovation et d’invention qui sont une base de données gratuites assurant des millions d’informations sur les brevets.
Il a assuré, par la suite, que le ministère va bientôt ouvrir des cellules de liaison pour ces centres dans les universités, les écoles des ingénieurs et les sociétés industrielles afin que tous bénéficient des avantages.
M. Mohamed Ould Ahmed Aïda a également affirmé que le gouvernement mauritanien accorde un intérêt particulier au développement de la recherche scientifique conformément à l’application du programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani qui garantit la redynamisation du haut conseil d’invention et la création d’un fonds spécial pour financer la recherche scientifique et l’invention.
Le représentant de l’OMPI, M. Ali Jazairy a précisé, de son coté, que dans un monde où l’économie est basée sur la connaissance, les brevets deviennent de plus en plus la nouvelle monnaie d’échange avant de noter que la Mauritanie a été le premier pays arabe à adhérer au PCT le 13 avril 1983.
"Aujourd’hui, le PCT est un outil indispensable, mais aussi un instrument d’affaires permettant de potentielles transactions, d’octrois de licences et de transferts de technologie", a-t-il dit
M. Ali Jazairy a assuré qu’en déposant une seule demande internationale de brevet PCT, l’intéressé ou les porteurs de projet peuvent demander la protection d’une invention simultanément dans de nombreux pays. " Les partenaires, experts et institutions sont unanimes sur le fait que la sensibilisation et la vulgarisation favorisent le climat de l’innovation en Mauritanie", a-t-il conclu.
La cérémonie s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la Justice, Monsieur Mohamed Ould Cherif Ahmed.
AMI
Cette rencontre, organisé par le ministère de l’Economie et de l’Industrie avec la collaboration de l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), permettra d’explorer ce qui est brevetable en Mauritanie, aux Comores et à Djibouti afin de créer un réseau d’utilisateurs du PCT mais surtout de soumettre les conditions aux esprits innovants en vue de leur faciliter l’accès aux plateformes électroniques du PCT afin qu’ils puissent protéger leurs inventions au niveau international.
Elle permet aussi de fournir tous les outils nécessaires aux esprits innovants de demain afin de faciliter la transition de l’économie de la Mauritanie vers une économie basée sur la connaissance.
Pendant 2 jours, les participants vont discuter plusieurs sujets portant, entre autres, sur l’état de la propriété intellectuelle en Mauritanie, le système national de brevets (expérience Djibouti), les interactions entre les utilisateurs, les mandataires , l’Office et le PCT comme outil de transfert de technologies.
Dans le discours qu’il a prononcé, à cette occasion, le secrétaire général du ministère de l’Economie et de l’Industrie, M. Mohamed Ould Ahmed Aïda a indiqué que son département a crée, avec l’appui de l’OMPI, des centres d’appui à la technologie d’innovation et d’invention qui sont une base de données gratuites assurant des millions d’informations sur les brevets.
Il a assuré, par la suite, que le ministère va bientôt ouvrir des cellules de liaison pour ces centres dans les universités, les écoles des ingénieurs et les sociétés industrielles afin que tous bénéficient des avantages.
M. Mohamed Ould Ahmed Aïda a également affirmé que le gouvernement mauritanien accorde un intérêt particulier au développement de la recherche scientifique conformément à l’application du programme du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Cheikh El Ghazouani qui garantit la redynamisation du haut conseil d’invention et la création d’un fonds spécial pour financer la recherche scientifique et l’invention.
Le représentant de l’OMPI, M. Ali Jazairy a précisé, de son coté, que dans un monde où l’économie est basée sur la connaissance, les brevets deviennent de plus en plus la nouvelle monnaie d’échange avant de noter que la Mauritanie a été le premier pays arabe à adhérer au PCT le 13 avril 1983.
"Aujourd’hui, le PCT est un outil indispensable, mais aussi un instrument d’affaires permettant de potentielles transactions, d’octrois de licences et de transferts de technologie", a-t-il dit
M. Ali Jazairy a assuré qu’en déposant une seule demande internationale de brevet PCT, l’intéressé ou les porteurs de projet peuvent demander la protection d’une invention simultanément dans de nombreux pays. " Les partenaires, experts et institutions sont unanimes sur le fait que la sensibilisation et la vulgarisation favorisent le climat de l’innovation en Mauritanie", a-t-il conclu.
La cérémonie s’est déroulée en présence du secrétaire général du ministère de la Justice, Monsieur Mohamed Ould Cherif Ahmed.
AMI