
La police mauritanienne a procédé à la répression de la marche de l’opposition qui drainait une foule impressionnante sur la route principale qui fraie la Moughataa de Toujounine a constaté notre reporter sur place.
Il s’agit de la marche du G8 qui rejette la tenue d’un référendum non consensuel et qui vise à la modification du drapeau et l’hymne nationaux, la suppression du sénat, de la haute cour de justice, du haut conseil islamique et la modification du haut conseil économique et social.
Cette gigantesque marche était dirigée par les leaders suivants : Ahmed Ould Daddah, Mohamed Ould Maouloud, Salah Ould Hanane etAhmed Salem Ould Bouhoubeyni.
Face à la marée humaine qui déferle sur la route, certains agents des forces de l’ordre de loin, calculaient la méthode pour agir, constate-t-on.
Tout d’un coup, les policiers ont stoppé l’évolution du cortège de l’opposition qui scandait les slogans pour l’annulation du référendum qu’elle qualifie d’anticonstitutionnel.
Débordées par la foule de manifestants, les forces de l’ordre ont fait usages des gaz lacrymogènes et des matraques pour disperser la foule et contraindre l’opposition de rebrousser chemin vers le centre ville.
Une manifestation d'opposants mauritaniens exigeant l'annulation du référendum et un dialogue politique national et inclusif.
A 15 h, d’impressionnants dispositifs de sécurité ont été déployés sur les principaux axes de la ville de Nouakchott et principalement dans les quartiers populaires et la place de l’ancien aéroport.
Echos des marches du G8
Une marche similaire s’est ébranlée du Carrefour Bamako- au rond point des cimetières à Riyad et elle dirigée par le leader du Mouvement IRA, Birame Ould Dah Ould Abeid. A ses cotés, les présidents des partis, Sawab, UNAD, l’Avant-garde, Le long de la route Arafat-Riad, les forces de la gendarmerie, de la garde et de police étaient très sensibles.
Des véhicules de gendarmerie roulaient derrière les marcheurs jusqu’à la dernière étape, a-t-on constaté. Devant les militants de l’opposition, Birame a proposé un mot très bref. Il a noté que le peuple n’accordera pas un troisième mandat et refusera en bloc, le référendum. Il a même précisé que les mauritaniens ne voteront pas en 2019 pour le candidat proposé par Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au Ksar, c’est le leader du parti Tawassoul et président du FNDU, Mr Mohamed Jemil Ould Mansour, qui se trouvait en tête de la marche populaire qui dénonce le référendum qu’elle juge unilatéral.
Enfin, les leaders de l’opposition ont dénoncé la répression orchestrée,ce vendredi après-midi,par les forces de l’ordre à l'encontre de la marche de Toujounine.
H.Jemal
source tawary.com
Il s’agit de la marche du G8 qui rejette la tenue d’un référendum non consensuel et qui vise à la modification du drapeau et l’hymne nationaux, la suppression du sénat, de la haute cour de justice, du haut conseil islamique et la modification du haut conseil économique et social.
Cette gigantesque marche était dirigée par les leaders suivants : Ahmed Ould Daddah, Mohamed Ould Maouloud, Salah Ould Hanane etAhmed Salem Ould Bouhoubeyni.

Tout d’un coup, les policiers ont stoppé l’évolution du cortège de l’opposition qui scandait les slogans pour l’annulation du référendum qu’elle qualifie d’anticonstitutionnel.
Débordées par la foule de manifestants, les forces de l’ordre ont fait usages des gaz lacrymogènes et des matraques pour disperser la foule et contraindre l’opposition de rebrousser chemin vers le centre ville.

A 15 h, d’impressionnants dispositifs de sécurité ont été déployés sur les principaux axes de la ville de Nouakchott et principalement dans les quartiers populaires et la place de l’ancien aéroport.
Echos des marches du G8
Une marche similaire s’est ébranlée du Carrefour Bamako- au rond point des cimetières à Riyad et elle dirigée par le leader du Mouvement IRA, Birame Ould Dah Ould Abeid. A ses cotés, les présidents des partis, Sawab, UNAD, l’Avant-garde, Le long de la route Arafat-Riad, les forces de la gendarmerie, de la garde et de police étaient très sensibles.
Des véhicules de gendarmerie roulaient derrière les marcheurs jusqu’à la dernière étape, a-t-on constaté. Devant les militants de l’opposition, Birame a proposé un mot très bref. Il a noté que le peuple n’accordera pas un troisième mandat et refusera en bloc, le référendum. Il a même précisé que les mauritaniens ne voteront pas en 2019 pour le candidat proposé par Mohamed Ould Abdel Aziz.
Au Ksar, c’est le leader du parti Tawassoul et président du FNDU, Mr Mohamed Jemil Ould Mansour, qui se trouvait en tête de la marche populaire qui dénonce le référendum qu’elle juge unilatéral.
Enfin, les leaders de l’opposition ont dénoncé la répression orchestrée,ce vendredi après-midi,par les forces de l’ordre à l'encontre de la marche de Toujounine.
H.Jemal
source tawary.com