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un grain de sable pour secouer la poussière...

Contextualisation des apprentissages

Samedi 31 Octobre 2020 - 16:44

M Lebrun a dit qu’au 18 ème la connaissance a fait de l’homme un dieu sur la terre. C'est une vérité.  J'ajouterai au propos de ce Grand Intellectuel, qu'on souligne néanmoins que DIEU a donné à cet homme la mémoire comme support pour stocker cette connaissance.

 

Et Platini de dire à l'occasion d’un entretien après l'un de ses rares mauvais matchs que : "les grands joueurs il faut que la chance soit avec eux ". Certainement, parce que l'unique but du match c'est lui qui l'avait marqué.

 

Malgré tout ni cet homme dieu sur terre ni même cette chance qui sied aux grands n'ont pu empêcher la panne de créativité et de création du 20ème.

 

Excusez-moi de procéder en termes d’approches et d'exemples cela peut sembler un peu ésotérique. J'espère bien que cette réponse de grands chercheurs recentrera l'objet du sujet à savoir que "beaucoup ne tiennent pas compte dans les pratiques éducatives les divers types cognitifs ".

 

J’ajouterai encore à cette réflexion que repérer cette ou ces potentialités est une chance pour l'apprenant, j'allais dire un droit mais le problème avec les droits est que l'acquisition d'un droit en appelle toujours un autre. Au risque de se répéter cette seule potentialité ne suffit pas pour faire aboutir à l'excellence.

 

Quelque soit le type d’intelligence au passage on a répertorié sept types d'intelligence ; l'assemblage d'éléments endogène et exogène à cette intelligence est nécessaire pour la réalisation des objectifs de toute réforme. Les systèmes éducatifs qui ont réussis à relancer la pensée de par le monde l'ont calé sur ce couplage.  D'ailleurs c'est sur la base de cette solution que l'Intelligence a repris ses marques et a permis la création de l'informatique et de toute sa suite à la fin du siècle dernier.

 

Procéder à des réformes pour   piétiner les freins même qui les ont suscitées ne veulent rien dire.

 

La chance encore une fois seule ne suffit pas et s’agissant de la mémorisation, elle est submergée de tout bord dans un environnement numérique imposant d'une part mais également privée de ses outils de compensation de première utilité à savoir la lecture "négligée" et la dictée " abandonnée " par les programmes d'autre part.

 

Comme j'aime le dire à qui veut l'entendre, que ces deux matières sont transversales et indispensable pour l'assimilation de toute discipline. Pour tout dire elles suivent toute la vie.

 

"De la bouche de mon frère paix à son âme que leur professeur d'histoire et géographie (un belge) disait il faut une année entière et uniquement rien que cette matière pour l'assimiler ".

 

Heureusement pour eux parce qu’à leur époque les éléments de décor étaient le livre, la radio et le cinéma ou il fallait non seulement avoir l'argent du billet mais aussi parcourir une grande distance.

 

L'uni-disciplinarité est la solution à la fois pour juguler l’inflation dans l'enseignement et la déperdition, pour améliorer la qualité de l’éducation pour permettre de faire de choix judicieux et d’orientations vers des possibilités locales d’insertion maximale et adaptée et enfin élever le niveau des activités au salut de l'Economie Nationale.

 

Abdoul SY

Observatoire A4C

Président d'ONG MEC

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