
Les ministres de l’enseignement fondamental et de la réforme de l’éducation et de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle respectivement, MM. Adama Soko Bocar et Mohamed Melainine Ould Eyih ont effectué dimanche une visite de prise de contact et d’information au niveau des classes ouvertes pour la formation des prestataires de l’enseignement à l’Ecole Normale des Instituteurs de Nouakchott, au Collège arabe, au collège des jeunes filles et au lycée de Toujounine - 1.
Au cours de la tournée, les deux ministres se sont enquis des conditions dans lesquelles se déroule la formation d’une semaine et de la méthodologie suivie dans l’encadrement. Ils ont félicité les admis au concours et les ont remercié pour le choix de la profession d’enseignant qu’Allah a honoré tout au long de l’Histoire à travers le premier verset du Saint Coran ‘’Iqraa’’ s’engageant à ce que les deux départements les accompagnent dans leur cursus professionnel par un encadrement de proximité dans leur lieu de travail et à améliorer, à l’avenir, leurs conditions. En plus de cela, des perspectives seront ouvertes aux meilleurs d’entre eux pour accéder à la fonction publique en étroite collaboration avec les autres ministères concernés.
Ils ont dit que le peuple mauritanien compte beaucoup sur leurs efforts pour améliorer la rentabilité pédagogique de l’élève qui représente un axe de la réforme engagée par l’État et un choix national pour tout le peuple mauritanien, ajoutant que le concours, qui a donné lieu à l’admission de 3406 candidats s’est déroulé dans la transparence sur la base des critères de justice et de professionnalisme dans l’évaluation.
Les deux ministres ont expliqué que des consignes seront données aux directions régionales pour combler les postes non pourvus dans les établissements par le biais de contractuels ou d’enseignants dont ils disposent. Tout comme il leur appartient de faire rattraper aux élèves le retard enregistré dans le programme.
En marge de la visite, certains participants au concours se sont rassemblés devant l’ENI. Le reporter de l’agence Mauritanienne d’Information les a interrogés sur la nature de leurs réclamations. Ils ont répondu qu’ils ont participé au concours et ont été déclarés admis à l’écrit et pris part à l’évaluation orale qui n’exclut la personne qu’en cas d’incapacité de parole ou de défaillance caractérisée et que leurs noms sont apparus dans les listes des candidats sélectionnées pour la formation avant d’en être retirées quelques minutes avant l’arrivée des deux ministres.
Dans ses réponses à ces observations, le ministre de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle a indiqué que la sélection se déroule sur plusieurs étapes : l’écrit et à l’oral. A l’issue de ces deux étapes, les listes complémentaires ont été affichées, comportant plus de candidats que requis. Il est tout à fait normal a –t il dit, qu’après évaluation, ne soient finalement retenu que le nombre prévu pour la sélection. Toutefois, si le besoin s’exprime, il pourrait être fait appel à ceux dont les noms figurent sur les listes complémentaires et qui n’avaient pas été sélectionnés.
D’une manière générale, le ministre a précisé que c’est l’aptitude à enseigner qui a été prise en compte comme seul critère de sélection.
Enfin, il a déclaré que la porte demeure ouverte devant toute réclamation concrète justifiée au regard des critères retenus dans les concours professionnels nationaux.
AMI
Au cours de la tournée, les deux ministres se sont enquis des conditions dans lesquelles se déroule la formation d’une semaine et de la méthodologie suivie dans l’encadrement. Ils ont félicité les admis au concours et les ont remercié pour le choix de la profession d’enseignant qu’Allah a honoré tout au long de l’Histoire à travers le premier verset du Saint Coran ‘’Iqraa’’ s’engageant à ce que les deux départements les accompagnent dans leur cursus professionnel par un encadrement de proximité dans leur lieu de travail et à améliorer, à l’avenir, leurs conditions. En plus de cela, des perspectives seront ouvertes aux meilleurs d’entre eux pour accéder à la fonction publique en étroite collaboration avec les autres ministères concernés.
Ils ont dit que le peuple mauritanien compte beaucoup sur leurs efforts pour améliorer la rentabilité pédagogique de l’élève qui représente un axe de la réforme engagée par l’État et un choix national pour tout le peuple mauritanien, ajoutant que le concours, qui a donné lieu à l’admission de 3406 candidats s’est déroulé dans la transparence sur la base des critères de justice et de professionnalisme dans l’évaluation.
Les deux ministres ont expliqué que des consignes seront données aux directions régionales pour combler les postes non pourvus dans les établissements par le biais de contractuels ou d’enseignants dont ils disposent. Tout comme il leur appartient de faire rattraper aux élèves le retard enregistré dans le programme.
En marge de la visite, certains participants au concours se sont rassemblés devant l’ENI. Le reporter de l’agence Mauritanienne d’Information les a interrogés sur la nature de leurs réclamations. Ils ont répondu qu’ils ont participé au concours et ont été déclarés admis à l’écrit et pris part à l’évaluation orale qui n’exclut la personne qu’en cas d’incapacité de parole ou de défaillance caractérisée et que leurs noms sont apparus dans les listes des candidats sélectionnées pour la formation avant d’en être retirées quelques minutes avant l’arrivée des deux ministres.
Dans ses réponses à ces observations, le ministre de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle a indiqué que la sélection se déroule sur plusieurs étapes : l’écrit et à l’oral. A l’issue de ces deux étapes, les listes complémentaires ont été affichées, comportant plus de candidats que requis. Il est tout à fait normal a –t il dit, qu’après évaluation, ne soient finalement retenu que le nombre prévu pour la sélection. Toutefois, si le besoin s’exprime, il pourrait être fait appel à ceux dont les noms figurent sur les listes complémentaires et qui n’avaient pas été sélectionnés.
D’une manière générale, le ministre a précisé que c’est l’aptitude à enseigner qui a été prise en compte comme seul critère de sélection.
Enfin, il a déclaré que la porte demeure ouverte devant toute réclamation concrète justifiée au regard des critères retenus dans les concours professionnels nationaux.
AMI