La neuvième session de l'Assemblée Générale des Etats parties à la Convention pour la sauvegarde du patrimoine culturel immatériel se tient au siège de l'Unesco, à Paris, du Mardi 5 au jeudi 7 juillet 2022.
Pendant trois jours, 180 Etats parties se rassemblent et discutent de questions importantes pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans le monde et pour l'avenir de la Convention. Il s'agit notamment de la réflexion globale sur les mécanismes d'inscription sur les listes de la Convention, du Plan d'Utilisation des ressources du Fonds du patrimoine culturel immatériel et de l'accréditation d'organisations non gouvernementales.
En outre, douze nouveaux membres du Comité seront élus.
La délégation mauritanienne à la conférence est conduite par l’ambassadeur, délégué permanent de la République Islamique de Mauritanie auprès de l’Organisation de l’UNESCO, SEM. Cheikhna Ould Moulaye Zeine sous le mandat duquel la Mauritanie vient obtenir un succès diplomatique après une série de candidatures malheureuses ici et là de l'Asecna en passant par l'Union Africaine.
Après le vote de 156 états membres sur 180, la Mauritanie vient d'être élue au comité intergouvernemental pour la protection du Patrimoine immatériel ; l'un des trois organes les plus importants dans l'organisation avec le Conseil Exécutif et le Comité du Patrimoine mondial.
Ce succès diplomatique est d'autant plus remarquable que notre ambassadeur n'est en fonction que depuis novembre dernier et candidat depuis Mars. Du groupe arabe, face à la Mauritanie, la Syrie et l'Irak étaient en lice. La Syrie s'est désistée pour soutenir l'Irak mais cela n'a pas suffi face aux voix des états soutenant la candidature mauritanienne.
Le succès diplomatique de son excellence Cheikhna Ould Nenni Ould Moulaye Zeine n'est pas le fruit du hasard car le hasard ne fait pas voter une majorité d'Etats qui n'ont que des intérêts. C'est juste l'éclat du sommet apparent d'un iceberg de discrétion diplomatique efficace car porté par un diplomate compétent qui inspire confiance à chacun et au plus grand nombre au nom d'un pays qui, au-delà des apparences économiques, reste incontournable sur bien des sujets diplomatiques arabes et africains sans parler du reste.
Pendant trois jours, 180 Etats parties se rassemblent et discutent de questions importantes pour la sauvegarde du patrimoine vivant dans le monde et pour l'avenir de la Convention. Il s'agit notamment de la réflexion globale sur les mécanismes d'inscription sur les listes de la Convention, du Plan d'Utilisation des ressources du Fonds du patrimoine culturel immatériel et de l'accréditation d'organisations non gouvernementales.
En outre, douze nouveaux membres du Comité seront élus.
La délégation mauritanienne à la conférence est conduite par l’ambassadeur, délégué permanent de la République Islamique de Mauritanie auprès de l’Organisation de l’UNESCO, SEM. Cheikhna Ould Moulaye Zeine sous le mandat duquel la Mauritanie vient obtenir un succès diplomatique après une série de candidatures malheureuses ici et là de l'Asecna en passant par l'Union Africaine.
Après le vote de 156 états membres sur 180, la Mauritanie vient d'être élue au comité intergouvernemental pour la protection du Patrimoine immatériel ; l'un des trois organes les plus importants dans l'organisation avec le Conseil Exécutif et le Comité du Patrimoine mondial.
Ce succès diplomatique est d'autant plus remarquable que notre ambassadeur n'est en fonction que depuis novembre dernier et candidat depuis Mars. Du groupe arabe, face à la Mauritanie, la Syrie et l'Irak étaient en lice. La Syrie s'est désistée pour soutenir l'Irak mais cela n'a pas suffi face aux voix des états soutenant la candidature mauritanienne.
Le succès diplomatique de son excellence Cheikhna Ould Nenni Ould Moulaye Zeine n'est pas le fruit du hasard car le hasard ne fait pas voter une majorité d'Etats qui n'ont que des intérêts. C'est juste l'éclat du sommet apparent d'un iceberg de discrétion diplomatique efficace car porté par un diplomate compétent qui inspire confiance à chacun et au plus grand nombre au nom d'un pays qui, au-delà des apparences économiques, reste incontournable sur bien des sujets diplomatiques arabes et africains sans parler du reste.