
Les localités relevant de la commune de Hassi Cheguer à l’Est du Guidimakha, connaissent depuis ces derniers mois une grave pénurie d’eau accentuée par les fortes températures que connaissent la zone.
Plusieurs milliers de têtes d’animaux qui viennent s’abreuver au seul puits traditionnel dans l’un des villages souffrent également de ce manque cruel en eau .
Selon l’un des habitants de la localité de lekhcheybiya, qui s’est confié à notre rédaction, des milliers de personnes souffrent depuis trois mois, d’un déficit en eau potable. Nos activités sont liées au développement agro-pastoral et elles nécessitent une abondance en eau, a-t-il expliqué.
Il a souligné que l’incapacité des habitants à construire un réseau d’eau dans le village a eu un impact négatif sur la vie des gens, ce qui a poussé beaucoup d’entre eux à migrer vers d’autres zones au cours des dernières semaines. Et cela dit-il, menace la cohésion des familles et du village et l’autosuffisance en produits agro-pastoral.
Et face à la situation sanitaire et la fermeture avec nos voisins, nous ne pouvons plus arriver à la frontière
Pour endiguer ce phénomène, le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement avait élaboré en avril dernier, un plan d’approvisionnement des zones rurales en eau potable.
Ce plan comprend la mise en place d’un système de gestion unifiée pour une période de 9 mois sur 12 et qui va inclure tous les villages qui remplissent les critères édictés par la commission mise en place par l’Office national des services de l’eau dans le milieu rural.
AMI
Plusieurs milliers de têtes d’animaux qui viennent s’abreuver au seul puits traditionnel dans l’un des villages souffrent également de ce manque cruel en eau .
Selon l’un des habitants de la localité de lekhcheybiya, qui s’est confié à notre rédaction, des milliers de personnes souffrent depuis trois mois, d’un déficit en eau potable. Nos activités sont liées au développement agro-pastoral et elles nécessitent une abondance en eau, a-t-il expliqué.
Il a souligné que l’incapacité des habitants à construire un réseau d’eau dans le village a eu un impact négatif sur la vie des gens, ce qui a poussé beaucoup d’entre eux à migrer vers d’autres zones au cours des dernières semaines. Et cela dit-il, menace la cohésion des familles et du village et l’autosuffisance en produits agro-pastoral.
Et face à la situation sanitaire et la fermeture avec nos voisins, nous ne pouvons plus arriver à la frontière
Pour endiguer ce phénomène, le ministère de l’hydraulique et de l’assainissement avait élaboré en avril dernier, un plan d’approvisionnement des zones rurales en eau potable.
Ce plan comprend la mise en place d’un système de gestion unifiée pour une période de 9 mois sur 12 et qui va inclure tous les villages qui remplissent les critères édictés par la commission mise en place par l’Office national des services de l’eau dans le milieu rural.
AMI