Mohamed Bouya Ould Cheikh Mohamed Fadel ( député... Mazette...) ou les prêcheurs de haine et de division...

Quand un "analphabète culturel" use et abuse de sa position pour alimenter le populisme, surfant sur "l'anti français" du moment, il ne fait ni plus ni moins que de la discrimination dans un pays qui a d'autres chats à fouetter ( la lutte contre la pauvreté, la lutte contre les inégalités, la lutte contre les discriminations etc etc...) que de se perdre dans des considérations pseudo indignées contre une langue.
 

Si la politique c'est se faire photographier avec une photo de Macron sur laquelle est dessinée une semelle ou, encore, de "s'indigner" qu'un Ministre s'exprime en français au Parlement, allant jusqu'à provoquer une interruption de la session parlementaire, c'est faire de l'analphabétisme culturel une pré supposée vertu politique.

Nous voilà donc dans cette sphère de l'Islam politique au visage rigide et populiste, au discours creux, aux indignations sélectives, avec un chantre de l'exclusion...

Pathétique, pathétique, pathétique...
 

Quelle insulte à l'intelligence et à la politique que ces indignations de caniveau qui, malheureusement, ont un public qui s'extasie devant tant d'inculture et de racisme ( oui, oui, racisme, encore un dans notre pays déjà tant déchiré) quand il suffirait d'une intelligence de l'esprit pour faire la part des choses et réellement jouer son rôle de député et non pas, au rythme où vont les choses, participer à la fabrication d'une machine à contrôler les esprits qu'est cette posture malhonnête d'Amir al Mouminin ( sans avoir l'air d'y toucher)....

Monsieur le député, un jour vous serez comptable devant l'histoire de notre pays de vos appels à la discrimination, de vos "envolées" toutes sauf lyriques visant à flatter le racisme le plus bas et l'ignorance...

Monsieur le député soyez bête ( et inculte aussi), c'est votre droit le plus absolu, mais de grâce, n'étalez pas votre bêtise sur la place publique...

Cela vous éviterait la honte...

Et nous éviterait, par la même occasion, une perte de temps et un spectacle navrant.

Mariem Mint Derwich

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