Tout à l’heure, quelqu’un scandalisé m’a raconté ce qui se passe devant l’ambassade du Sénégal. Je ne pensais pas que c’était aussi flagrant. Aussi, en passant devant, j’en ai profité pour voir de mes yeux et prendre quelques photos à mes risques et périls car en Mauritanie dès que vous sortez un téléphone avec manifestement l’envie de prendre une photo, on vous regarde de travers.
Cela se passe juste en face de l’ambassade du Sénégal où il y a toute la journée des attroupements. Comme les photos le prouvent, la forme du trottoir prouve que c’était l’entrée d’une ruelle et pas n’importe quelle ruelle puisqu’elle donne directement accès au commissariat de la police judiciaire qui jusque-là avait une vue imprenable sur ce qui se passe devant l’ambassade du Sénégal et surtout un accès direct au goudron de l’avenue Daddah.
Désormais c’est terminé. Plus de vue sur l’ambassade et surtout plus de ruelle puisque quelqu’un, certainement le propriétaire de cet immeuble en construction, a gazré la rue. Reste à savoir si c’est fait légalement et là encore il y a toute forme de trafic. Je le sais car quelqu’un de ma famille a failli être dépossédé de ses terrains par une marocaine qui a pu se faire un authentique titre foncier, c’est-à-dire signé de la main des autorités compétentes mais entièrement mal fondé car elle n’y avait pas droit.
D’ailleurs les gens du domaine ne s’y sont pas trompés puisqu’ils refusent de l’enregistrer vu tous les problèmes qu’il y a eu. Nous sommes allés jusqu’à la cour suprême qui, Dieu merci, n’a pas cautionné ces trafics mais la course est encore longue si elle fait appel et veut continuer le trafic d’influence, elle qui a pu mouiller des services de la primature pour lui fournir un papier juridiquement sans intérêt sinon pour ensuite mystifier les gens de la justice pour leur prouver qu’ils ont le bras long.
Je n’ai rien dit à propos de cette affaire dont je détiens tous les papiers et les noms car je n’ose croire qu’on puisse encore plaisanter en Mauritanie avec le trafic des titres fonciers. Si c’est un faux manifeste, celui qui l’utilise risque la prison mais si c’est un vrai faux comme celui de la marocaine, c’est-à-dire mal fondé sinon sur trafic d’influence alors c’est celui qui l’a signé qui risque gros mais dans ces cas, souvent on étouffe l’affaire.
Quant à ce qui nous occupe : dès que j’ai pris la photo vue du commissariat, bien sûr les policiers m’ont vu puisqu’ils n’ont que ça à faire de ce côté. Je suis allé les voir tranquillement en leur montrant mes papiers et j’ai expliqué que je suis journaliste et on m’a signalé que quelqu’un est en train de s’emparer de cette ruelle...
N’est-ce pas incroyable de gazrer une rue au nez du commissariat de la police judiciaire ?
VLANE
Cela se passe juste en face de l’ambassade du Sénégal où il y a toute la journée des attroupements. Comme les photos le prouvent, la forme du trottoir prouve que c’était l’entrée d’une ruelle et pas n’importe quelle ruelle puisqu’elle donne directement accès au commissariat de la police judiciaire qui jusque-là avait une vue imprenable sur ce qui se passe devant l’ambassade du Sénégal et surtout un accès direct au goudron de l’avenue Daddah.
Désormais c’est terminé. Plus de vue sur l’ambassade et surtout plus de ruelle puisque quelqu’un, certainement le propriétaire de cet immeuble en construction, a gazré la rue. Reste à savoir si c’est fait légalement et là encore il y a toute forme de trafic. Je le sais car quelqu’un de ma famille a failli être dépossédé de ses terrains par une marocaine qui a pu se faire un authentique titre foncier, c’est-à-dire signé de la main des autorités compétentes mais entièrement mal fondé car elle n’y avait pas droit.
D’ailleurs les gens du domaine ne s’y sont pas trompés puisqu’ils refusent de l’enregistrer vu tous les problèmes qu’il y a eu. Nous sommes allés jusqu’à la cour suprême qui, Dieu merci, n’a pas cautionné ces trafics mais la course est encore longue si elle fait appel et veut continuer le trafic d’influence, elle qui a pu mouiller des services de la primature pour lui fournir un papier juridiquement sans intérêt sinon pour ensuite mystifier les gens de la justice pour leur prouver qu’ils ont le bras long.
Je n’ai rien dit à propos de cette affaire dont je détiens tous les papiers et les noms car je n’ose croire qu’on puisse encore plaisanter en Mauritanie avec le trafic des titres fonciers. Si c’est un faux manifeste, celui qui l’utilise risque la prison mais si c’est un vrai faux comme celui de la marocaine, c’est-à-dire mal fondé sinon sur trafic d’influence alors c’est celui qui l’a signé qui risque gros mais dans ces cas, souvent on étouffe l’affaire.
Quant à ce qui nous occupe : dès que j’ai pris la photo vue du commissariat, bien sûr les policiers m’ont vu puisqu’ils n’ont que ça à faire de ce côté. Je suis allé les voir tranquillement en leur montrant mes papiers et j’ai expliqué que je suis journaliste et on m’a signalé que quelqu’un est en train de s’emparer de cette ruelle...
N’est-ce pas incroyable de gazrer une rue au nez du commissariat de la police judiciaire ?
VLANE