Au train où vont les choses, sauf miracle, il n’échappera pas à ce destin tragique. Le voilà encore arrêté à cause d’une plainte d’un journaliste. Certains crient à la manipulation des services secrets pour l’empêcher d’aller aux élections car on n’a jamais vu quelqu’un arrêté en pleine nuit à cause d’une plainte banale pour diffamation surtout pas une personnalité connue à la veille des élections.
Quand on regarde le reportage du journaliste et qu’on entend la sortie de Birame, on se dit que soit les deux doivent être arrêtés soit aucun. Le pseudo reportage du journaliste est un montage odieux de la pire espèce en matière de manipulation mais il s’agit bien des propos de Birame contre certains oulémas qui ne sont pas des anges, contre les livres que son organisation a incinérés qu’il appelle « le code négrier » de certains oulémas, contre les beydhânes qu’il estime racistes mais tout cela est sorti de son contexte, sans date pour situer les propos et surtout pas un mot à propos de tout ce que Birame a dit en tant que musulman et pour modérer son discours d'impulsif.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1865205300185453&id=100000880024797
D’ailleurs ce montage est extrait d’une vidéo qui circule depuis quelques années, plus longue, avec une musique dramatique où est condensé tout ce que Birame a pu dire de radical anti-beydhâne contre certains oulémas. Dans n’importe quel pays de droit, ce journaliste subirait les rigueurs de la loi pour mise en danger de la vie d’autrui car c’est bien de ça qu’il s’agit quand on imagine l’effet de ce genre de montage sur des esprits bédouins qui ne savent pas ce qui peut être fait en matière de manipulation audiovisuelle.
Quant à Birame : sa sortie ne vaut guère mieux, elle n’est pas digne d’un prix ONU des droits de l’homme à la veille d’une élection majeure qui aurait pu lui permettre d’entrer à l’assemblée et continuer ses diatribes détestables de l’intérieur des institutions. Ce qu’il a dit n’est pas anodin. Il ne s’est pas contenté de traiter de chien le journaliste, il ne s’est pas contenté d’appeler ses soutiens à l’appeler pour l’insulter, il a surtout dit que le journaliste est venu le voir soi-disant pour faire un reportage sérieux alors qu’en fait ce n’est qu’un agent du général Meguett venu le piéger. C’est à ce moment que Birame dérape car il n’a rien pour étayer ses propos.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1747571955323653&id=100002125977880
Birame tombe dans tous les pièges que le pouvoir lui tend mais le pouvoir ne vaut guère mieux en matière de clarté dans son rapport à Birame. D’un côté on lui interdit d’avoir un parti politique et on l’enferme régulièrement à la première occasion, de l’autre dès que le pouvoir a besoin de lui, l’UPR lui offre des parrainages et le voilà candidat à l’élection présidentielle. Pourquoi ? Pourquoi l’autoriser à être candidat pour le parti Sawab s’il n’est pas autorisé à avoir un parti ?
En vérité, tout porte à croire que Birame fait le jeu d’un segment du pouvoir d’extrême droite qui a exclu les hratines des grands ministères, du commandement militaire et autres responsabilités au nom de la fin de la discrimination positive qui a toujours existé en Mauritanie. Pas une tribu guerrière qui n’ait pas des hratines guerriers avec elle. Birame a permis de terroriser les maures blancs pour justifier cette politique d’exclusion. Birame est une créature du pouvoir mauritanien comme le Hamas le fut d’Israël contre le Fatah pour avoir toujours de quoi justifier la terreur face à ce qu’ils appellent des extrémistes et même des terroristes.
A la vitesse où circulent les vidéos et les montages, il faut craindre que tôt ou tard un illuminé n’assassine Birame. Le pouvoir mauritanien n’a aucun intérêt à cela et, ironie du sort, il doit protéger la vie de Birame tout en lui permettant toujours d’être l’idiot utile à l’extrême droite beydhâne.
VLANE
Quand on regarde le reportage du journaliste et qu’on entend la sortie de Birame, on se dit que soit les deux doivent être arrêtés soit aucun. Le pseudo reportage du journaliste est un montage odieux de la pire espèce en matière de manipulation mais il s’agit bien des propos de Birame contre certains oulémas qui ne sont pas des anges, contre les livres que son organisation a incinérés qu’il appelle « le code négrier » de certains oulémas, contre les beydhânes qu’il estime racistes mais tout cela est sorti de son contexte, sans date pour situer les propos et surtout pas un mot à propos de tout ce que Birame a dit en tant que musulman et pour modérer son discours d'impulsif.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1865205300185453&id=100000880024797
D’ailleurs ce montage est extrait d’une vidéo qui circule depuis quelques années, plus longue, avec une musique dramatique où est condensé tout ce que Birame a pu dire de radical anti-beydhâne contre certains oulémas. Dans n’importe quel pays de droit, ce journaliste subirait les rigueurs de la loi pour mise en danger de la vie d’autrui car c’est bien de ça qu’il s’agit quand on imagine l’effet de ce genre de montage sur des esprits bédouins qui ne savent pas ce qui peut être fait en matière de manipulation audiovisuelle.
Quant à Birame : sa sortie ne vaut guère mieux, elle n’est pas digne d’un prix ONU des droits de l’homme à la veille d’une élection majeure qui aurait pu lui permettre d’entrer à l’assemblée et continuer ses diatribes détestables de l’intérieur des institutions. Ce qu’il a dit n’est pas anodin. Il ne s’est pas contenté de traiter de chien le journaliste, il ne s’est pas contenté d’appeler ses soutiens à l’appeler pour l’insulter, il a surtout dit que le journaliste est venu le voir soi-disant pour faire un reportage sérieux alors qu’en fait ce n’est qu’un agent du général Meguett venu le piéger. C’est à ce moment que Birame dérape car il n’a rien pour étayer ses propos.
https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=1747571955323653&id=100002125977880
Birame tombe dans tous les pièges que le pouvoir lui tend mais le pouvoir ne vaut guère mieux en matière de clarté dans son rapport à Birame. D’un côté on lui interdit d’avoir un parti politique et on l’enferme régulièrement à la première occasion, de l’autre dès que le pouvoir a besoin de lui, l’UPR lui offre des parrainages et le voilà candidat à l’élection présidentielle. Pourquoi ? Pourquoi l’autoriser à être candidat pour le parti Sawab s’il n’est pas autorisé à avoir un parti ?
En vérité, tout porte à croire que Birame fait le jeu d’un segment du pouvoir d’extrême droite qui a exclu les hratines des grands ministères, du commandement militaire et autres responsabilités au nom de la fin de la discrimination positive qui a toujours existé en Mauritanie. Pas une tribu guerrière qui n’ait pas des hratines guerriers avec elle. Birame a permis de terroriser les maures blancs pour justifier cette politique d’exclusion. Birame est une créature du pouvoir mauritanien comme le Hamas le fut d’Israël contre le Fatah pour avoir toujours de quoi justifier la terreur face à ce qu’ils appellent des extrémistes et même des terroristes.
A la vitesse où circulent les vidéos et les montages, il faut craindre que tôt ou tard un illuminé n’assassine Birame. Le pouvoir mauritanien n’a aucun intérêt à cela et, ironie du sort, il doit protéger la vie de Birame tout en lui permettant toujours d’être l’idiot utile à l’extrême droite beydhâne.
VLANE