Le Président de la République participe au sommet " One Planet Summit" à Paris
Les travaux du sommet "One Planet Sommit" ont débuté mardi à Paris avec la participation du Président de la République, Son Excellence Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, du président français, Monsieur Emmanuel Macron, et de plusieurs autres dirigrants du monde et représentants de centaines d'organisations et institutions internationales.
Ouvrant le sommet, le président français a souhaité la bienvenue aux dirigeants du monde présents, soulignant que l'humanité fait face à des moments difficiles.
Il a souligné que la question du climat constitue désormais une menace pour l'avenir de l'humanité.
Le sommet qui dure un seul jour discutera la question du financement qui est encore insuffisant pour faire face au réchauffement, un an après la convention de Paris.
Les experts estiment que le maintien du réchaffement de la terre à moins de deux degrés restera un rêve tant que des trillons de dollars ne sont pas investis dans les énergies propres.
Il est à noter que les questions financières font l'objet de différends dans les plans des Nations Unies relatifs au climat. Dans ce cadre, les pays en développement insistent sur la nécessité d'obtenir des assistances financières pour combler les coûts leur permettant d'accéder à des énergies moins polluantes et de faire face aux catastrophes naturelles liées au changement climatique.
Les pays riches se sont engagés en 2009 à mobiliser 100 milliards de dollars annuellement pour appuyer les pays en développement juqu'à 2020.
source AMI
Ouvrant le sommet, le président français a souhaité la bienvenue aux dirigeants du monde présents, soulignant que l'humanité fait face à des moments difficiles.
Il a souligné que la question du climat constitue désormais une menace pour l'avenir de l'humanité.
Le sommet qui dure un seul jour discutera la question du financement qui est encore insuffisant pour faire face au réchauffement, un an après la convention de Paris.
Les experts estiment que le maintien du réchaffement de la terre à moins de deux degrés restera un rêve tant que des trillons de dollars ne sont pas investis dans les énergies propres.
Il est à noter que les questions financières font l'objet de différends dans les plans des Nations Unies relatifs au climat. Dans ce cadre, les pays en développement insistent sur la nécessité d'obtenir des assistances financières pour combler les coûts leur permettant d'accéder à des énergies moins polluantes et de faire face aux catastrophes naturelles liées au changement climatique.
Les pays riches se sont engagés en 2009 à mobiliser 100 milliards de dollars annuellement pour appuyer les pays en développement juqu'à 2020.
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